
Un billet, court, chaque jour.
Je n’ose même pas évoquer Bécassine. Toutes les facéties de cette délicieuse petite servante bretonne sont toutes pardonnables.
Mais Nat ? Blitzkrieg ? Un bon mot ?
Avec ce niveau d’éducation. Avec ce parcours professionnel. À ce niveau de responsabilité. Avec ce devoir de représenter dignement ses concitoyens Français devant l’Europe.
Même si la (mauvaise) perche lui a été tendue par un/une journaliste, il y a des mots que l’on ne doit pas reprendre à son profit, ainsi, à la légère. Même en l’assortissant d’un adjectif adoucissant.
Peut-être qu’un jour, l’appauvrissement culturel ayant atteint son meilleur objectif, personne ne saura à quoi le mot blitzkrieg aura fait référence, mais à ce jour, beaucoup ont encore en mémoire le déluge de feu qui s’abattit sur les populations.
Même avec l’adjectif « positif », il ne peut y avoir de sens heureux au vocable blitzkrieg. Il ne peut qu’entacher un discours de responsable politique.
A ce prétendu niveau de Q.I., ce ne peut pas être une simple bévue. C’est une énième boulette.
Qui ne peut pas passer dans les urnes.