«Il y a un moment, un seul, où l'on peut, spectateur impuissant, reprendre un souffle, c'est celui où, sur le fil fragile du déséquilibre mental, presque irrémédiablement aspiré par la possibilité de prendre la tête d'une communauté sanguinaire, le capitaine Willard lâche l'épée. Le son du métal, de la lame qui touche le sol, est une libération.»