Son génie. Sa gloire. Qui peut parier à sa place sur ce que Molière aurait voulu en faire ? A tout parier, au sens de votre dévouée chroniqueuse, il aurait voulu qu’on le déclame, qu’on le joue, qu’on rit de ses tirades, qu’on joue ses pièces sans trembler devant la « cancel culture ». Et que chaque enfant de France, sache pleinement qui il fut et qui il est encore dans notre, justement merveilleuse, Culture.