Le champ de bataille, la morne plaine jonchés d’un ou de deux cadavres ne s’est par trouvée. Aucun des « adversaires » n’avait d’armes ou seulement même de courage pour s’aventurer sur la vraie zone de combat : celle que les Français, leurs concitoyens, leurs électeurs affrontent, désarmés pour le coup, chaque matin.