« Quelle merveille cependant, comme pour la belle note entendue, un pincement de harpe, une volute de clarinette, de saisir par l’esprit et d’entendre résonner le mot idéal qui fait jaillir par la parole ou par la plume, la pensée, l’émotion. La compréhension. L’expression des maux heureux, ou malheureux, de l’âme. »