« Un « haiku », ce souffle poétique, a quelque chose de sacré. D’abord le chiffre trois ; une trinité, dans laquelle, concentré, quelque chose de pur, fragile par conséquent, se dessine. »
« Un « haiku », ce souffle poétique, a quelque chose de sacré. D’abord le chiffre trois ; une trinité, dans laquelle, concentré, quelque chose de pur, fragile par conséquent, se dessine. »