« Dans la supérette Labro, on apprend le « moitrinaire » : la satisfaction, le savoureux de ce que l’on a. « Si » l’on ne peut pas être plus, alors il faut aimer ce que l’on a. Et, finalement, à bien y regarder, on a beaucoup. »
« Dans la supérette Labro, on apprend le « moitrinaire » : la satisfaction, le savoureux de ce que l’on a. « Si » l’on ne peut pas être plus, alors il faut aimer ce que l’on a. Et, finalement, à bien y regarder, on a beaucoup. »