
Des bottes et un ciré auraient fait l’affaire.
Fouler les feuilles mortes, réveiller les flaques, marquer de son pas les chemins boueux eurent été de réjouissantes possibilités.
Dans d’autres styles, aller se faire une toile, piétiner dans un musée ou encore aller admirer les vitrines de Noël.
Autrement encore, aller dans les quartiers commerçants, baguenauder de boutique en boutique et craquer au moins une fois. Ne pas oublier, pour se réchauffer, la crêpe moelleuse au sucre.
Mais réellement, laisser la raison s’exprimer et prendre le dessus, rester sérieux, ouvrir ses livres et ses notes pour se mettre au travail. Sacrifice aujourd’hui pour partie remise demain.
Un week-end perdu, dix retrouvés. Au moins un, le prochain, suffirait.